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Bai Chay (Along), jeudi 8 mars

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Le Vietnam d'Alain et Christine en 2012

Carnet de route

Bai Chay (baie d'Along) - Mercredi 7 mars

 

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Réveil à 6 heures. Le brouillard couvre le bout de mer visible de notre fenêtre. Au lever du jour, on aperçoit quelques "pains de sucre", mais le spectacle géologique de la baie d'Along est plus à l'est.

A 6 h 30, une perceuse se met en route dans les étages ; à l'extérieur les bruits d'un chantier tout proche... Petit-déjeuner sorti du sac : riz soufflé  trempé dans du lait.

Nous partons à pied pour l'office de tourisme, où nous  réservons pour le lendemain nos places pour une excursion de six heures dans la baie. 78 € pour les deux, sans le repas de midi ! Mais pouvons-nous l'éviter ?

Nous croisons de nombreux touristes occidentaux (il y avait longtemps !). Dans la foulée, nous continuons vers la gare routière (à 5 km à l'ouest en suivant le littoral), pour préparer notre prochaine étape : Ninh Binh.

Le temps est brumeux et lourd. Il va falloir s'habituer à la moiteur ambiante. Nous prenons finalement le bus n° 3.

Repas dans un petit restaurant : nouilles aux fruits de mer délicieuses (80 000 VND pour les deux, soit 3 €).

L'après-midi, balade jusqu'à Hòn Gai par le pont suspendu. Nous sommes choqués par un ensemble de panneaux destinés à cacher une misère "inopportune" (voir photos).

Le soleil donne, il faut mettre la casquette et les lunettes de soleil. Christine prend des coups de soleil sur les épaules.

Retour à Bai Chay. Nous nous rendons à la poste pour voir si une connexion Internet est possible ; nous tombons sur une employée plus que désagréable (pour le "sourire vietnamien", il faudra repasser). Nous devons donc aller ailleurs, et ce sera dans un petit hôtel contigu au nôtre. Mais rien à faire, pas de connexion possible avec Orange ; nos enfants n'auront encore pas de nouvelles de nous ce soir.

Petits achats dans le bazar couvert destiné aux touristes. Christine marchande ; elle se montre redoutable.

 

Post-scriptum : Les affaires semblent être quasi exclusivement aux mains des trentenaires, voire des quadragénaires. Les générations précédentes n’ont peut-être pas eu les capacités mentale, morale et intellectuelle nécessaires pour prendre le train de la libre entreprise.